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Mourad a Mustaganem
Cheikh Tahar BADAOUI
Atelier structurel pour l'élevage de                        volailles A Bani akkak l'état

"Mostaganem" Célébration Du El Mawlid El Nabawi El Charif "Algérie"

reportage sous marin mostaganem

Mourad Au tourisme avec ses amis sur                  la plage de Mostaganem

Bien que son existence date d'avant la période romaine (Murustagen pendant les Phéniciens, puis Cartennae pendant les Romains), Mostaganem ne présente une histoire suffisamment connue qu'à partir du XIe siècle, lorsqu'elle était sous le contrôle des Almoravides.

La ville de Mauristaga (Aujourd'hui Mostaghanem) a été reconstruite après l'Islam sous l'ordre du valeureux Saint de la ville Sidi Abdellah el Khattabi el Idrissi, Ouali des Médjahers les premiers habitants de la région.

Sidi Abdallah est le patron de la ville de Mostaganem et son Marabout se trouve dans plusieurs villes et villages de Mostaganem, Relizane et Mascara.

 Mausolée de Sidi Lakhdar Ben                     Makhlouf  Mostaganem

Sidi Lakhdar Ben Khlouf (en arabe : سيدي الأخضر بن خلوف), de son vrai nom Lakhal Ben Abdellah Ben Khlouf1, est un poète algérien du XVIe siècle, mort à l'âge de 125 ans et 6mois. Il est considéré comme l'un des plus populaires poètes algériens du XVIe siècle1.

Sidi Lakhdar Ben Khelouf est devenu célèbre grâce à ses poésies sur le prophète Mahomet (ce qui lui vaut le surnom de « louangeur du Prophète »2) et l'épopée qu'il consacre à la bataille de Mazagran du 26 août 1558 contre les Espagnols2,3.

Comptant parmi les saints patrons de la région de Mostaganem1, ses poèmes sont souvent interprétés par les chanteurs de chaâbi1.

 

Cheikh Ahmed Al Alawi
Cœur vivant de l'Islam, au sein duquel le lien entre maître et disciple réactualise, par le contrat de deux volontés, le pacte remontant au Prophète (que le salut et la paix soient sur lui), par la Silsila (chaîne initiatique), elle­-même symbole de la dépendance de l'âme vassale envers son seigneur, Intériorisation vécue d'un donné révélé conjointement à l'observance fidèle des pratiques rituelles : Certes, le Tassaouf (le Soufisme) c'est cela.
(Eva de Vîtry Meyarovitch).
La Zaouïa où l'enseignement soufi est en vigueur constitue un centre d'études ou' le savoir n'est plus dans les livres, et il ne suffit pas d'en­traîner les facultés mentales pour le conquérir.

Une vieille chanson sur mostaganem 

Image Satellite de Mostagane
 

   En 1589, un soldat du château de Santa-Cruz déserta et se rendit auprès du gouverneur de Tlemcen, le caïd Ali, auquel il annonça, pour se faire bien accueillir comme porteur d'une nouvelle d'importance, que le gouverneur d'Oran faisait des préparatifs, pour aller, sous peu de jours, emporter Mostaganem par escalade.
    Le caïd envoya aussitôt, de la garnison de Tlemcen, 120 janissaires et prit dans le château de Mascara tous les Turcs qu'il put trouver. Il arriva, à Mostaganem, le 7 mars 1589 et y réunit tous les gens de guerre des bourgs et des campagnes. Ceux-ci restèrent de garde dans la ville et ne s'aperçurent qu'au bout de 17 jours qu'ils avaient été mystifiés.

La nouvelle place du marché à Mostaganem. Parue dans Le Monde Illustré
(vue prise des abreuvoirs, d'après le croquis de M. L. de Nabat)
difficile de reconnaître un coin de Mostaganem dans ce dessin : moulin à vent, dromadaire, proximité de la mer ; seule la poterne à droite ressemble à celle qui jouxtait la porte de Mascara et devant laquelle il y avait bien un marché.

Mostaganem (en arabe : مستغانم Mustaġānam  Écouter ou Mustaġānim  Écouter ; prononcé localement, Mestghalem) est une commune algérienne de la wilaya de Mostaganem dont elle est le chef-lieu. C'est une ville portuaire de la Méditerranée, située au nord-ouest de l'Algérie, à 363 km à l'ouest d'Alger. Elle est parmi les plus grandes villes de l'ouest du pays après Oran.

Considérée en Algérie comme la « capitale du Dahra »2 — Mostaganem est parfois surnommée la « ville des Mimosas »3 — l'unité urbaine de Mostaganem s'étend en outre de la commune du même nom, sur les communes de Mazagran et de Sayada et comprend une population de 162 885 habitants en 20084. Elle est également une ville culturelle et artistique importante, foyer de la tariqa El-Alaouiya, implantée dans plusieurs pays et dotée d'un riche patrimoine et d'une création artistique active notamment dans la musique chaâbi.

Rachid Au Cimetière Construit  à Bordj Bou Arreridj​

Le tombeau de Sidi Mammar Mostaganem

Un marabout (arabe : مَربوط [marbūṭ] ou مُرابِط [murābiṭ], celui qui est attaché) est un homme ascète (rarement une femme), le plus souvent se réclamant de l'islam ou de syncrétisme musulman. Considérés comme un saint homme et un sage, les marabouts-m'rabet font l'objet d'un culte populaire en Afrique du Nord et sous d'autres formes dans toute l'Afrique.

Grand marabout toucouleur (Sénégal) (1853)

Ce saint patron donne parfois son nom à un lieu-dit, à un village, à une ville. Il lui offre protection et bénédiction.

Le terme désigne aussi le tombeau à coupole (قُبّة [qubba]) de la personne vénérée (saint).

C'est dans un lieu de culte, la zaouïa, que se réunissent des milliers de fidèles chaque année.

Et ici, Nous Terminons Notre Tour Du Mutaganem Historique Dans L'espoir Que Vous L'aimez

Votre frère en Dieu Kheir-eddine

Depuis trois millénaires, les costumes des femmes algériennes révèlent en filigrane l’évolution d’une société soumise aux aléas de l’histoire du monde méditerranéen. Leur genèse remonte à une époque lointaine puisque les pelleteries de l’ère préhistorique s’enveloppent autour du corps et s’agrémentent déjà de parures chargées de fonctions ornementales et symboliques. Le costume primitif, commun à toutes les régions du pays, exhibe des amulettes protectrices formées de matières disparates, telles que les De bcoquillages, les fragments d’œufs d’autruche, les cauris, les galets, les dents d’animaux ou l’ivoire. Dans la culture ibéromaurusienne, comme dans la culture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

P R O L O G U E

Anssain Photo Mustaganem

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